mercredi 17 avril 2013

BANDE-ANNONCE : « Châtiments » de Hans Koppel (Presses de la Cité)





Vous aussi vous vous êtes faits bercer par cette si belle musique ? Vous aussi vous avez été tenté par ce

sombre suspense psychologique ? Vous aussi, vous avez été  frappés par ce si beau regard pourtant glacé d'effroi ? Faites confiance à Hans Koppel, un nouvel auteur suédois, qui publie ici, grâce aux éditions Presses de la Cité, son tout premier roman.
Lisez-moi ça :

« Oeil pour oeil...
Quand Ylva ne rentre pas à la maison un soir après le travail, Mike, son mari ne s'inquiète pas outre mesure. Sans doute est-elle allée boire un verre avec des collègues. Mais au fil des heures, l'angoisse le pousse à prévenir la police, qui voit en lui le suspect numéro un.
Ce que tout le monde ignore est qu'Ylva est retenue en otage à quelques mètres de chez elle, par un couple récemment installé dans le quartier. Enfermée dans leur cave, elle est quotidiennement soumise à la torture. Car Ylva doit souffrir. Elle doit payer. Comme tous les autres. »

« Une oeuvre impeccablement exécutée dans laquelle la tension est insoutenable. » The Independent
(source : www.pressesdelacite.com )


Si maintenant, et avec tout ça, vous n'êtes pas allés tous courir chez votre libraire pour découvrir ce qui se cache derrière ce pavé aussi glacial  qu'attirant... Je reviendrai, là encore vous en parler.
Mais cette fois-ci, plus vite que prévu, même. C'est un coup de coeur, donc ce sera ma priorité, pour qu'au moins, si Koppel le mérite - ce dont je ne doute pas - on puisse, alors, avoir peut-être aussi la chance de pouvoir le relire en France un jour.
Et cette petite bande-annonce est déjà elle-même suffisamment prometteuse, non ?

Alors bon, le temps que ce bouquin veuille bien se débloquer dans le vaste entrepôt où il se trouve soigneusement enfoui à l'heure actuelle, je pourrai déjà vous en dire un peu plus et plus longuement.
Le temps que je retrouve aussi  le petit billet que j'avais préparé à l'époque pour Taylor Stevens, que je commence à trier dans la dizaine de pages que m'a inspiré le nouveau - chef d'oeuvre, je vous l'ai dit - de John Katzenbach, pour tenter d'en tirer au moins deux ou trois phrases cohérentes et vous expliquer pourquoi vous devez tout de suite le lire, sans même parler des deux miraculés - l'Américain Matthew F. Jones et l'incroyable Irlandais Adrian McKinty - il y a déjà de quoi faire...

Mais tout va aller plus vite maintenant. Oui, oui, terminé les hésitations, mes coups de coeur avant tout, puisque de toute façon, le reste, ce n'est déjà plus la peine d'en parler.

Et aussi, je l'avoue bien volontiers, parce que de toute façon, et avant tout, je ne suis qu'un lecteur, comme vous, et qui... préfère le rester. Pour l'instant en tout cas.
Puisque je ne compte ni écrire quoique ce soit d'autre que, éventuellement, quelques commentaires sur ce que j'ai moi-même lu, et/ou eu envie de lire, c'est déjà pas mal, il me semble, comme « projet ». Juste, peut-être, et si possible, pouvoir vous guider, ou tenter de mieux vous guider dans cette vaste faune littéraire où tout va décidément un peu trop vite.. Mais avec un autre regard sur les choses. Non pas forcément et toujours un regard noir ou ironique : tout dépend de ce que je lirai, de ce que m'inspirera l'air du temps, et des indications qui, peut-être me seront données, ici, ou là.

Mais la première mission (possible, elle), je vous le dis : il faut sauver le soldat Koppel ! Dès maintenant !

Au moins en faisant confiance à votre intuition si tout cela vous a tentés. Et donc, en le lisant vous-mêmes, ou en demandant conseil à votre libraire. Comptez sur lui, comme toujours.

 Je suis certain que ce Suédois - qui a préféré échapper à la mode déjà flétrie du polar scandinave et prendre donc un pseudonyme allemand, pour publier son premier thriller, et avoir ainsi une petite chance supplémentaire d'être découvert -, en vaut le coup, alors tout cela mérite déjà bien qu'on la lui donne, cette petite chance... supplémentaire.

Puisque, justement, l'éditeur de John Connolly, de John Burdett, de M. J. McGrath (à lire, vite !) - sans oublier le grandiose Katzenbach, et tant d'autres encore grands (ou futurs grands) noms - l'a choisi, lui, Hans Koppel, pour son premier roman... c'est que déjà, tout ça est terriblement bon signe !

Allez, à bientôt.   ;)